Santé

Maux de tête : Voici les 5 aliments coupables

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Les maux de tête ne préviennent jamais. Ils s’invitent sans préambule, perturbant concentration, humeur et productivité.

Bien qu’ils soient souvent causés par le stress ou les écrans, il est parfois surprenant de constater que l’origine du problème... se cache dans l’assiette.

En effet, certains aliments possèdent des composés capables de déclencher une irritation des vaisseaux sanguins, des nerfs ou des muscles de la tête et du cou.

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Voici cinq aliments qui, malgré leur popularité, sont susceptibles de provoquer des migraines ou céphalées.

1.  Le fromage : délicieux mais sournois

Tout d’abord, le fromage, notamment les variétés vieillies, contient de la tyramine. Ce composé peut contracter ou dilater les vaisseaux sanguins, favorisant ainsi les maux de tête chez les personnes sensibles.

2.  Le chocolat : un plaisir à double tranchant

Ensuite, le chocolat, bien qu’apprécié par les gourmands, renferme de la caféine et de la théobromine. Ces substances altèrent la tension des vaisseaux sanguins, ce qui peut déclencher une migraine chez certains consommateurs.

3. Le vin rouge : attention à la quercétine

De plus, le vin rouge contient un flavonoïde appelé quercétine. Celui-ci ralentit la capacité du corps à métaboliser l’alcool, ce qui peut accentuer la sensibilité aux maux de tête, surtout chez les personnes intolérantes.

4.  Les viandes salées : un cocktail chimique risqué

Par ailleurs, les viandes transformées comme les hot-dogs ou le bacon regorgent de nitrates, des conservateurs capables de dilater les vaisseaux sanguins. Le résultat ? Une possible céphalée, surtout si ces aliments sont consommés en excès.

5. Les agrumes : acides et... migraineux

Enfin, bien que les agrumes soient rafraîchissants et riches en vitamine C, ils contiennent aussi de l’histamine. Cette molécule est connue pour déclencher des migraines chez les individus sensibles aux réactions allergiques.

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 Par ailleurs, surveiller son alimentation peut être une stratégie efficace pour réduire la fréquence des maux de tête. Cela dit, chaque organisme réagit différemment, donc l’observation personnelle reste la meilleure prévention.

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