
Cet événement a réuni 22 pays d'Afrique. Il symbolise également l’excellence des relations entre la Côte d'Ivoire et la Turquie.
Ahmet Türkben, responsable de l'éducation de la fondation Maarif, a exprimé sa gratitude à la Ministre Mariatou Koné pour l'organisation de l'événement en Côte d'Ivoire. Il a souligné le rôle du festival dans l'inspiration de la prochaine génération de scientifiques et de technologues africains. Insistant sur la nécessité de consolider les liens entre les nations dans les domaines "vitaux" de la science et de la technologie.
La présence du Pr Mariatou Koné, a été particulièrement saluée par l’ensemble des festivaliers.
Elle a salué cette initiative et a félicité la fondation Maarif pour son rôle essentiel. Soutenant ainsi la Côte d'Ivoire dans sa politique nationale de digitalisation. Un virage technologique que la Côte d'Ivoire entend saisir pleinement.
L'objectif, c'est d'échanger autour des bonnes pratiques
Selon la ministre, le Festival des Sciences offre des perspectives aux élèves et étudiants. Et ce, à travers ses concours interuniversitaires et grandes écoles des pays participants. "L'objectif, c'est d'échanger autour des bonnes pratiques et d'appréhender les défis et opportunités. Ce forum matérialise notre partenariat qui mérite d'être amplifié”, a-t-elle signifiée.
Résultats du FES
L’un des points clés de la cérémonie a été la proclamation des résultats du “Concours Maarif innovative projects”. Plusieurs universités et grandes écoles étaient en compétition. La Côte d'Ivoire s'est distinguée en se positionnant parmi le top 3 dans différentes disciplines: 1ère de la catégorie informatique et intelligence artificielle, 2ème de la catégorie technologie agricole et énergie renouvelable, Lycée Municipal 2 de Koumassi, 3ème dans la catégorie électronique et robotique, Lycée Moderne de Cocody, le prix spécial du concours a été décerné au Lycée Moderne 1 d'Attécoubé.
La délibération du jury a eu lieu en présence du Pr Saliou Touré, président de la société mathématique de Côte d'Ivoire.
Bema Bakayoko