
Une prise de position inédite, qui s’accompagne de révélations glaçantes sur les coulisses de la famille présidentielle.
Un cri de détresse en direct de Suisse
Sous le pseudonyme de "King Nasty", Brenda apparaît en larmes, visiblement à bout. Depuis la Suisse, où elle réside, elle raconte avoir contacté Ferdinand Ngoh Ngoh, secrétaire général de la présidence, qu’elle considère comme un oncle proche. Mais au lieu de recevoir du réconfort, elle affirme avoir été confrontée à une réponse brutale : « Il faut faire une overdose et mourir ». Une phrase qu’elle dit avoir entendue clairement au téléphone, et qui marque un tournant dans son témoignage.
Trahison familiale et rupture définitive
Brenda ne mâche pas ses mots : « Ma propre famille veut ma mort. Ils attendent que je fasse une overdose ici et que je meurs. » Elle annonce couper les ponts avec ses parents, renoncer à tout soutien financier et se désolidariser totalement du clan Biya. « Je ne prendrai plus un seul sou venant de vous, papa, maman ! » lance-t-elle, dans un élan de colère et de douleur.
Un appel politique sans précédent
Mais le plus retentissant reste son message aux électeurs : « Ne votez pas Paul Biya, pas par rapport à moi, mais parce qu’il a fait souffrir toute une nation depuis des années ! » Elle exprime son espoir de voir émerger un nouveau président, et s’excuse auprès des Camerounais pour les torts que sa famille aurait pu leur causer.
Une vidéo qui enflamme la toile
La vidéo, bien que rapidement supprimée, a été massivement relayée et commentée. Certains y voient un acte de courage, d’autres s’interrogent sur la véracité des propos ou sur une possible manipulation numérique. Quoi qu’il en soit, Brenda Biya vient de poser un acte politique fort, qui pourrait bien peser sur l’élection à venir.