
Le Front Populaire Ivoirien (FPI), parti historique fondé par Laurent Gbagbo, se retrouve au cœur d’une nouvelle controverse.
Selon des informations crédibles, le siège du parti a été fermé par les autorités en raison d’impôts impayés. Cette situation a empêché la tenue d’un point de presse prévu par le Comité de contrôle du FPI.
Cette mesure administrative soulève des questions fondamentales sur la gestion et la responsabilité des partis politiques en Côte d’Ivoire. Un parti politique, en particulier celui qui aspire à gouverner, doit être exemplaire dans le respect des lois, y compris les obligations fiscales. Le non-paiement des impôts par une formation politique remet en question sa crédibilité et son engagement envers les principes de bonne gouvernance.
Yacouba DOUMBIA