
Dans une déclaration rendue public sur ses réseaux sociaux, hier mercredi 27 août 2025, le président de "Aujourd’hui, demain, la Côte d’Ivoire" (ADCI) a rappelé le fondement constitutionnel de sa vision.
« L'État et les collectivités publiques ont le devoir de veiller au développement de la jeunesse. Ils créent les conditions nécessaires à son éducation civique et morale et lui assurent la protection contre l'exploitation et l'abandon moral » (article 10 de la Constitution de 2020)", a-t-il déclaré.
Assalé Tiémoko promet d’appliquer ce principe par un « package de mesures fortes », parmi lesquelles : Un contrôle renforcé de l’accès aux réseaux sociaux pour les moins de 18 ans, avec une régulation horaire ; L’interdiction des maquis et boîtes de nuit pour les mineurs ; Le service militaire obligatoire, afin d’inculquer discipline et esprit civique ; La suppression du ministère de la Jeunesse, dont les compétences seraient transférées aux collectivités territoriales, sous la supervision de la Direction nationale de la jeunesse.
« Protéger sans faiblesse »
Pour le député-maire de Tiassalé, ces mesures, parfois jugées rigoureuses, s’imposent face aux « ravages » observés dans de nombreux pays. « Faire la politique, c’est parfois prendre des mesures dures dans l’intérêt des populations et les assumer. Et pour protéger la jeunesse ivoirienne, nous serons parfaitement rigoureux », a-t-il affirmé.
S’inspirant d’exemples en Europe et en Asie, le candidat estime que ces réformes permettront de préserver la jeunesse ivoirienne de l’abandon moral et des dérives sociales.
Avec ce programme axé sur la protection et l’encadrement de la jeunesse, Assalé Tiémoko Antoine entend faire de cette frange majoritaire de la population un pilier central de son projet de société.