
"...Tout en promettant aux victimes de ce coup d'état civil une lutte victorieuse, le PHDDCI déclare la nullité de ces simulacre d'élections et invite la mise en place d'un comité de transition qui sera essentiellement chargé de la reprise des élections en Côte d’Ivoire", a déclaré ce parti.
Dans cette déclaration, le PHDDCI a d'abord condamné les différentes violences, les morts et les arrestations qui se déroulés dans cette période électorale en Côte d'Ivoire.
A le suivre, le gouvernement ivoirien et le RHDP, en "violation des lois en Côte d’Ivoire, ont orchestré une montée progressive de la violence contre les populations provoquant de nombreuses pertes en vies humaines".
Pour ce parti politique, "toute complicité dans la violation de la Constitution ivoirienne constitue une atteinte grave à la souveraineté du peuple ivoirien".
Et c'est dans le but de situer les responsables de ces actions que cette formation politique a pointé les candidats qui se sont présentés face au président sortant dont Simone Ehivet Gbagbo, Henriette Lagou, Jean-Louis Billon et Ahoua Don Mello ; mais aussi le Procureur de la République, Koné Braman Oumar, du doigt.
Il les accuse d'être des "co-auteurs de cette unième violation de la Constitution ivoirienne pour avoir cautionné ce coup d'état civil".




 
  
  
  
  
  
  
  
 