
Ces cas illustrent l’ampleur du défi sanitaire. Le dépistage demeure bas, avec seulement 18 % des femmes âgées de 15 à 49 ans ayant déjà subi un test. La proportion est supérieure en milieu urbain (22 %) comparativement au milieu rural (10 %). Il est essentiel de détecter tôt pour préserver des vies.
L'ANSTAT exhorte toutes les femmes à effectuer des examens réguliers. Pour rappel dès 25 ans, il est recommandé d'avoir un suivi gynécologique annuel.il faudrait planifier l'examens de votre poitrine en clinique par un professionnel de santé, tel qu'un médecin généraliste, un gynécologue ou une sage-femme. Même sans pathologie gynécologique, il est recommandé d'observer régulièrement vos seins et de pratiquer l’autosurveillance.
Selon les professionnelles voici quelques gestes qui ne doivent pas être discutés. L'autosurveillance régulière des seins est nécessaire pour savoir au plus tôt une éventuelle anomalie. Plus le diagnostic est fait tôt, moins les traitements sont lourds et meilleurs sont les chances de guérison. Régulièrement, quelques jours après les règles, prenez l'habitude de vous auto-examiner. L'autosurveillance et la palpation ne doivent pas se substituer à la mammographie. Elles sont complémentaires, en fonction de l'âge et du niveau de risque.