
Il en a profité pour appeler, au nom du gouvernement Ivoirien à la mobilisation collective pour la sécurité alimentaire. Selon Adama Kamara, la Côte d’Ivoire doit opérer une transition vers une agriculture plus moderne, compétitive et plus durable.
A le suivre, cette transformation ne viendra qu'en collaboration avec le secteur privé, chercheurs, organisme d'encadrement, la société civile et autres structures liées à ce secteur. « Face aux défis de notre agriculture, nous devons parler un seul langage. Celui d'améliorer, main dans la main la productivité, la production, la transformation et surtout la commercialisation de nos produits vivriers », a-t-il déclaré.
Il a tenu ce discours, au nom du ministre d'Etat, en présence des organisations telles que l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) en Côte d'Ivoire ; du Programme alimentaire mondial (PAM) ; du Fonds international du développement agricole (FIDA) ; et de l'Union européenne et de la Banque mondiale. Pour Adama Kamara, c’est à travers cette approche que la transformation des systèmes agroalimentaires pourra être une réalité.