Société

Côte d'Ivoire : Indignation du Ministère de la Femme face aux propos calomnieux contre la Première Dame

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Le ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant a vivement réagi aux déclarations jugées « malveillantes, calomnieuses et totalement infondées » du cyberactiviste Johnny Patcheko à l’encontre de la Première Dame, Madame Dominique Ouattara.

Dans un communiqué officiel, la ministre Nasseneba Touré a exprimé son indignation face à ces accusations relayées sur les réseaux sociaux, dénonçant une volonté manifeste de « ternir l’image et l’honorabilité » de la Première Dame ainsi que de l’institution qu’elle incarne.

Un engagement social et humanitaire salué

Le communiqué rappelle le rôle clé de Madame Dominique Ouattara dans le développement social en Côte d’Ivoire. « Madame Dominique Ouattara, en tant que Première Dame de notre Nation, est une figure emblématique de l’engagement social et humanitaire. Elle incarne les valeurs de solidarité, de respect et de dignité qui sont chères à notre pays », souligne la ministre. À travers ses nombreuses initiatives en faveur des femmes et des enfants, la Première Dame s’est imposée comme une actrice majeure du progrès social dans le pays.

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Des dérives inacceptables sur les réseaux sociaux

Le ministère condamne fermement ces attaques, les qualifiant de dérives récurrentes qui ne peuvent être tolérées. « Insulter ou calomnier Madame Dominique Ouattara revient à injurier toutes les femmes de Côte d’Ivoire qui méritent respect et considération », insiste la ministre Nasseneba Touré. Selon elle, ces accusations gratuites visent également à détourner l’attention des Ivoiriens des avancées réalisées sous la présidence d’Alassane Ouattara.

Appel à la justice et à la cohésion sociale

Face à la gravité de ces propos, la ministre demande une intervention judiciaire. « Je demande solennellement au Procureur de la République de se saisir de ce dossier. Il est impératif que justice soit rendue afin de laver l’honneur de Madame Dominique Ouattara et de préserver la dignité des femmes de notre pays », déclare-t-elle.

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Enfin, elle appelle les Ivoiriens à faire preuve de discernement face à ces campagnes de désinformation et à promouvoir les valeurs de respect, de solidarité et de cohésion sociale, socles du vivre-ensemble en Côte d’Ivoire.

 Le ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant entend ainsi défendre l’image et les valeurs portées par la Première Dame, tout en réaffirmant son engagement en faveur de la justice et du respect des institutions.


Olivier Yeo

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