
Concrètement, cela signifie que chaque sélection aura un site d’hébergement et un centre d’entraînement rien que pour elle. Une organisation pensée pour offrir aux joueurs des conditions idéales de préparation, mais aussi pour garantir une équité sportive et une logistique plus fluide.
Les camps ont été répartis dans plusieurs grandes villes du Royaume, choisies selon des critères précis : qualité des infrastructures, accessibilité, sécurité et proximité des stades.
Voici la carte de cette répartition
Rabat : Maroc, Bénin, Botswana, Algérie, Tunisie, Ouganda, Tanzanie, RD Congo ; Casablanca : Mali, Zambie, Comores, Burkina Faso, Guinée ; Équatoriale, Soudan ; Marrakech : Afrique du Sud, Angola, Zimbabwe, Côte d’Ivoire ; Agadir : Égypte, Cameroun, Gabon, Mozambique ; Fès : Nigeria ;Tanger : Sénégal.
Au-delà de l’aspect organisationnel, cette nouveauté est un atout majeur pour les équipes. En ayant accès à des installations modernes et réservées, les joueurs pourront préparer leurs matchs dans un cadre serein, propice à la récupération physique et à la cohésion du groupe. Autre avantage , la réduction des déplacements, souvent pointés du doigt lors des précédentes éditions comme une source de fatigue. Cette fois, tout est pensé pour que les sélections se concentrent uniquement sur leur performance sur le terrain.
Ainsi, la CAN 2025 ne sera pas seulement une fête du football africain, mais aussi une vitrine de modernité et d’organisation. Le Maroc, en hôte, pose ainsi un nouveau standard pour les grandes compétitions du continent.