
En Côte d’Ivoire, le commerce en ligne est devenu une habitude qui a fini par s'installer dans le quotidien des Ivoiriens. Que ce soit le petit commerçant du quartier, de la restauratrice du secteur ou même le grand magasin de la ville, tous ont désormais besoin du numérique pour accroître leurs revenus.
Sauf que le secteur nécessite encore plus de suivi de la part des autorités politiques Ivoiriennes. C'est justifie la tenue de l'atelier sur l'examen et la validation des projets de décrets relatifs au commerce électronique, qui se tient du jeudi 4 au vendredi 5 décembre 2025, à Abidjan. Au cours de la cérémonie qui s'est déroulée le premier jour, les participants à la rencontre ont dévoilé ses ambitions.
Le représentant du Directeur du Commerce électronique, Anganhan Kouakou Yao, a salué le développement rapide de ce secteur au fil des années. "Avec plus de 41% de pénétration internet, le numérique a soutenu ce secteur pour qu'il se développe. Et le gouvernement ne pouvait pas rester en marge de ce progrès. C'est pour cela que depuis 2022, il a mis en place la Direction générale du Commerce électronique. Aujourd'hui, cet organe s'est déployer avec l'ensemble des acteurs du secteur pour voir quels sont les défis et enjeux pour le développement de notre pays", a-t-il déclaré.
Pour sa part, Félix Kouakou qui avait la charge de représenter le structure partenaire de ce projet, Trademark Africa, a salué les différentes avancées enregistrées par la Côte d'Ivoire.
Selon lui, cette entreprise a pour missions de veiller au respect des procédures et formalités dans l'importation et l'exportation entre les pays frontaliers.