
Dans une récente publication sur sa page Facebook, Maa Bio est revenue sur ce qu’elle reste devoir à ses créanciers. Pour la jeune dame, ce sont 22 personnes qu’elle devrait. Ces personnes, dit-elle, ont déjà reçu leur dû. En dehors de deux qu’elle compte satisfaire totalement très bientôt.
« Sur mes 22 créanciers, j’en ai remboursé 20. Il reste 2 et ils m’ont dit de laisser mais Dieu va permettre que je rembourse d’une manière ou d’une autre et Dieu », confie-t-il non sans dire déplorer son acte. « Seul Dieu sait le poids du regret que je porte », regrette-t-elle. Et Maa Bio de demander l’indulgence des personnes qui la critiquent. « Ça ne sert à rien de vous acharner sur moi. Je ne suis pas votre cible. On vit bien plus lourd que tout ça », plaide-t-elle sollicitant la cessation des critiques acerbes à son endroit. « Libérez-moi ! Je ne vous dois rien », clame-t-elle.
Comme pour se donner bonne conscience, Maa Bio a relayé dans ce même post des faits avérés d’escroquerie et des problèmes sociaux de ces dernières décennies. Au nombre de ces faits, énonce-t-elle, l’affaire Mon Hévéa, Sautoc, la hausse des prix de loyers, la fraude immobilière, les blanchiments d’argent, l’immigration irrégulière avec son lot de morts, l’incivisme des conducteurs de Gbakas, le chômage. « Tout ce que j’ai cité là, ce sont des faits réels que la jeunesse ivoirienne vit », soutient-elle.