
Depuis 1997, Germain partageait sa vie avec Elise. Ensemble, ils ont élevé leur fille, récemment admise en classe de sixième. Pourtant, ce foyer paisible a été bouleversé par un drame inattendu. « Déjà il y a eu mort d’homme… il faut qu’on finisse avec, quel que soit alpha, le procureur va se saisir de ce dossier, et ensuite on verra. »
À travers ces mots, Germain exprime non seulement sa douleur, mais aussi son exigence de vérité. Il ne s'agit pas simplement d'une tragédie privée : le dossier, désormais entre les mains des forces de police, mérite une attention judiciaire au plus haut niveau.
Des auditions révélatrices et un dossier en cours de finalisation
Comme l'indique Germain, plusieurs étapes ont déjà été franchies : « On a été auditionné au service de constat au 40e, on vient de m’auditionner, on a fini avec ça au niveau de la préfecture de police. »
En d’autres termes, l’enquête préliminaire touche à sa fin. Il devient donc crucial que le procureur intervienne pour enclencher une procédure pénale, selon Germain Koffi, conformément à la gravité des faits.
Des éléments matériels troublants
Les objets personnels d’Elise retrouvés sur les lieux, son téléphone inutilisable, son porte-monnaie contenant encore un billet de 10 000 francs, témoignent de sa disparition soudaine. « Elle n’a pas pu faire ses achats… elle est partie par malchance, elle était au mauvais moment. »
Ces éléments, bien que simples, renforcent l’urgence de faire toute la lumière sur ce qu’il s’est passé.
Un cri pour la justice, porté par la foi et la douleur
Au-delà des procédures, Germain exprime son désespoir : « Je suis dans la détresse… comment faire après tout ça ? Je ne sais pas. Mais je me remets à Dieu. », a-t-il déclaré .
Son appel ne peut rester sans écho. Un appel qui sera certainement saisi par le procureur pour situer toutes les responsabilités dans ce drame.