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France : Une femme de 82 ans rejoint son amant brouteur de 28 ans à Abidjan

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Marie Josée, une retraitée de 82 ans a tout plaqué en France pour venir vivre en Côte d'Ivoire avec un homme de 28 ans, un brouteur et ce malgré les craintes d'arnaque de sa famille.

Depuis septembre 2024 qu’elle a quitté la ville de Rouen pour la Côte d’Ivoire, Marie-José aurait dépensé plus de 100 000 euros soit plus de 65 millions F CFA pour ses nouveaux amis. Elle jure être « heureuse » et savoir « gérer son argent », mais son fils Xavier dénonce une arnaque aux sentiments.

C’est sur Internet qu’elle a rencontré son amour et depuis elle n’est plus prête de repartir en France. Veuve, elle a vu son quotidien perdre de sa saveur après la perte d'une amie proche et de son chien, Gavroche. Ses amies ont remarqué son déclin, jusqu'à ce qu'elle commence à dialoguer en ligne avec un homme. Elle décrit celui-ci, Christ, un Ivoirien de 28 ans, comme « attentionné » et développe rapidement des sentiments pour lui.

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Toutefois, son fils identifie la situation comme une arnaque, expliquant à sa mère qu'elle est la cible d'un brouteur. « Maman, je m’en fous, je t’aime et je veux que tu reviennes. », témoigne son fils Xavier, 61 ans.

Malgré toutes ces alertes, Marie-José reste sourde à ses mises en garde et en septembre 2024, elle quitte tout pour prendre un vol vers Abidjan. Depuis son départ, Marie-José a envoyé des messages rassurants à ses petits-enfants, affirmant être heureuse et bien traitée. Une photo publiée dans des quotidiens et sites français la montre aux côtés de Christ. Cependant, son fils a découvert des virements bancaires suspects vers des comptes ivoiriens et des tentatives de débloquer son assurance vie, avec déjà 100.000 euros disparus. Chaque mois, sa pension de 3.000 euros est retirée en deux jours.

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Malgré ces faits, Marie-José insiste sur son choix dans la presse française. « Je pense que je suis assez grande pour gérer mes affaires. Je suis fatiguée d'être obligée de me justifier à mon âge. Je suis attachée à Christ. J'ai le droit d'être heureuse », a-t-elle affirmé sur le site de Le Parisien.  

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