
Simone Éhivet a présenté aux populations d’Aboisso, les critères de nomination dans l’administration publique selon elle. Elle a une fois de plus exhorté ses partisans à pardonner et aussi à demander pardon à l’instar des villes qu’elle a sillonné durant cette campagne. « On doit nommer quelqu'un parce que la personne est compétente pour faire le travail pour lequel on veut la nommer. Le 2e critère pour les nominations, c’est la crainte de Dieu. Quelqu'un qui n’a pas la crainte de Dieu , il faut l’écarter. Parce que c’est avec ça qu’on va respecter la vie humaine. Le 3e critère, c’est l’intégrité. Celui qui est malhonnête et prêt à aller vous trahir et qui ment, il ne faudrait pas le nommer. Le 4e critère, c’est la corruption. Celui qu’on peut corrompre facilement, il ne faut pas le nommer. Donc quand on dirige un pays, il faut que cela marche avec des valeurs. Et il faut qu’on mette en place des solutions, pour que ces valeurs soient appliquées ", a-t-elle signifié face aux populations du Sud-Comoé.
Simone Éhivet fait face à 4 autres candidats pour l’élection du 25 octobre prochain. Elle a entamé sa série de meetings à Bouaflé, ville dans laquelle, son père a exercé en tant que gendarme. Son projet de société s’appuie sur 7 pillers.
Bema Bakayoko