C'était presque prévisible ! Mais puisque dans les grands rendez-vous, les Merengué avaient cette habitude de toujours répondre présents, leurs supporters se sont donc donnés le droit d'y croire. Y croire et même songer à une victoire de prestige qui lancerait ainsi les débats sur l'état d'engagement des joueurs.
Mais dans une rencontre où les Cityzens sont arrivés, eux aussi, avec la ferme intention de s'imposer, le duel ne pouvait qu'être plus que palpitant. C'est donc dans cette atmosphère où le buteur français, Kylian Mbappé débutait sur le banc (il ne rentrerai pas d'ailleurs) pour cause de blessure, que les deux équipes se sont livrés un véritable combat.
L'attaquant brésilien, Rodrygo qui n'avait plus marquer avec les Merengué depuis plus de 30 matchs était ce jour-là dans sa plus grande forme. A chaque côté de du terrain, il virevolte, dribble, attaque et défend.
Ses efforts seront justement payés à la 28e minute. Lancé en profondeur par Jude Billingham, le brésilien n'hésite pas à frapper de manière instantanée pour tromper Gogio Donnaruma. 1-0 pour Real Madrid.
Sauf que, cette saison, et plus lors de ses derniers matchs, les madrilènes ont gardé la fameuse habitude de se montrer fragile défensivement... Et c'est justement sur une confusion dans la défense des espagnoles que Nico O'reilly, seul devant les buts, met le ballon au fond des filets.
Quelques minutes plus tard, sur un accrochage dans la défense de Rudiger sur Erling Haaland, monsieur Clément Turpin, après la VAR, indique le point de penalty. Tout vient ainsi de basculer pour Manchester City dont le buteur ne se prive pas pour tromper le gardien belge. 2-1 donc pour les hommes de Pep Guardiola.
Le reste du match ne montrera plus grande chose de part et d'autre. Manchester City s'impose ainsi au Santiago Bernabeu, laissant l'avenir de Xabi Alonzo plus qu'incertain.
