
Quelles sont les valeurs qui fondent la démocratie sous le régime du Président Alassane Ouattara ? Au cœur de toute démocratie véritable se trouve la liberté d’expression — ce droit fondamental qui permet à chaque citoyen de penser librement, de s’exprimer et de contribuer au débat public. Sous la gouvernance du Président Alassane Ouattara, cette liberté est non seulement reconnue, mais encadrée avec responsabilité et discernement. Cependant, la liberté d’expression ne saurait être confondue avec le libertinage verbal et les abus de parole, qui traduisent un dépassement des limites du respect et des règles communes. Car si la démocratie repose sur le pluralisme des idées, elle exige aussi un cadre de civilité et de responsabilité. Ainsi, cette liberté, bien qu’essentielle, n’est pas absolue. Elle s'exerce dans le respect des lois et des institutions, de manière à préserver l’équilibre démocratique, garantir la paix sociale et assurer le bon fonctionnement d’un régime politique fondé sur la responsabilité, la justice et l’ordre républicain.
Dans la Côte d’Ivoire du Président Ouattara, la liberté d’expression s’exerce à travers une presse plurielle et dynamique. Quotidiens, hebdomadaires et chaînes de télévision multiplient les analyses, critiques et points de vue souvent virulents à l’endroit du pouvoir, sans crainte de représailles. Des débats contradictoires sont régulièrement organisés sur des chaînes comme la Nouvelle Chaîne Ivoirienne (avec le brillantissime Ali Diarrassouba), et la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne, ou encore sur L’Intelligent TV, La Nouvelle Chaîne Africaine, et le Club de la Presse, pour ne citer que ces exemples. Dans la diversité de leurs perspectives, ces médias organisent des émissions politiques qui offrent aux citoyens ivoiriens et aux Africains un espace d’échange et de réflexion sur les enjeux politiques qui animent les actualités nationale, sous-régionale et internationale, en relation parfois avec les problématiques des pays africains.
Au-delà de cette réalité, il convient de souligner que, sous le régime du Président Ouattara, les manifestations dites « pacifiques » de l’opposition sont autorisées en Côte d’Ivoire, même quand celles-ci sont organisées dans l’esprit de critiquer avec véhémence la politique gouvernementale. En témoigne la marche récemment organisée le 09 août 2025 à Yopougon par les partis d’opposition PPACI et PDCI. Avant Yopougon, il y eut la démonstration de force effectuée par le PDCI à travers sa « grande » marche sur la Commission Electorale Indépendante, le 14 juin 2025. L’autorisation de ces mobilisations populaires reflète la volonté du régime Ouattara de reconnaître — dans les limites du raisonnable — la légitimité des marches et des divergences idéologiques comme des composantes essentielles du jeu démocratique.
Contrairement à d’autres contextes africains où manifester peut mener à la répression ou à la prison, en Côte d’Ivoire, ces expressions citoyennes et politiques sont intégrées dans le fonctionnement de la démocratie. Elles s’inscrivent dans cette vision politique que le Président de la République partage, sans aucun doute : Une démocratie solide repose sur des institutions fortes, une presse libre, ainsi qu’une société politique et civile active et responsable . La démocratie puise sa force dans ces nobles principes, tout en s’attachant
à garantir la protection de l’individu, notamment le respect absolu de sa vie. Autrement dit, une démocratie authentique ne peut exister que si l’intégrité physique de chaque citoyen demeure inviolable.
L’histoire de la Côte d’Ivoire — comme celle de nombreux pays africains — témoigne d’une longue et douloureuse quête de cette démocratie protectrice, sans qu’elle n’ait toujours abouti. C’est peut-être le lieu de rappeler que le destin de notre pays a été marqué par une succession de crimes, d’atteintes graves à la vie humaine, d’exactions impunies, de disparitions inquiétantes et d’exécutions extrajudiciaires. L’un des épisodes les plus tragiques reste celui du charnier de Yopougon, parmi tant d’autres crimes inacceptables. Ces scènes d’horreur faisaient malheureusement partie du quotidien des Ivoiriens, jusqu’à se confondre avec leur réalité sociale. Dans ce contexte, la Côte d’Ivoire a progressivement perdu sa quiétude et sa réputation de havre de paix.
Face à cette image sombre et indigne de notre nation, Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara a fait le choix résolu d’ouvrir une nouvelle ère : celle d’une démocratie véritable, dans laquelle la vie humaine retrouve son caractère sacré. Les résultats de cette transformation existentielle sont manifestes. Depuis quinze ans, de 2010 à 2025, aucun épisode de répression sanglante n’a entaché l’exercice par les citoyens de leurs droits fondamentaux, notamment celui de la liberté d’expression. Bien au contraire, ces droits sont aujourd’hui garantis, encadrés et respectés. Autre fait notable : aucun opposant politique n’a été assassiné pour ses idées. Le pays n’a plus été le théâtre de charniers ni d’assassinats ciblés, tels que ceux tristement célèbres qui ont marqué la vie des régimes précédents. On peut s’enorgueillir aujourd’hui de voir que les escadrons de la mort et les milices armées ne sont plus qu’un sombre souvenir d’une époque révolue, que les Ivoiriens aspirent à ne jamais revivre. Cette avancée majeure constitue un motif de fierté légitime pour la nation, et un témoignage tangible de l'engagement du Chef de l'État en faveur d'une démocratie apaisée, centrée sur la dignité humaine, le respect des droits et la préservation de la vie.
Un autre pilier de la gouvernance démocratique sous le Président Alassane Ouattara réside dans la séparation effective des pouvoirs. En Côte d’Ivoire, l’exécutif, le législatif et le judiciaire exercent leurs missions de manière autonome. L’Assemblée nationale joue pleinement son rôle de contrôle de l’action gouvernementale, tandis que la justice fonctionne avec un niveau d’indépendance reconnu, comme en témoignent plusieurs décisions rendues, y compris à l’encontre de personnalités ou de militants proches du pouvoir en place, ainsi que le relevait récemment Monsieur Koné Braman Oumar, Procureur de la République (Tribunal de Première Instance d’Abidjan- Plateau). Ce respect des institutions contraste fortement avec les pratiques en cours sous les régimes de l'Alliance des États du Sahel (Burkina Faso, Mali, Niger), où les juntes militaires concentrent tous les pouvoirs, réduisent au silence absolu l’opposition, sous la menace « de leurs baïonnettes ». De même, comparé à Paul Biya au Cameroun, au Président togolais Faure Gnassingbé ou encore aux chefs des régimes militaires du Sahel, où les représailles contre les opposants sont monnaie courante, le Président Ouattara se distingue comme un dirigeant démocrate engagé dans la consolidation de l’État de droit, du respect de la loi, des droits d’autrui, de la sécurité nationale et de l’ordre public.
La démocratie ne se mesure pas uniquement à la liberté politique, mais aussi à la justice sociale. Sous le Président Alassane Ouattara, la croissance économique ivoirienne s’est ainsi accompagnée d’efforts concrets pour améliorer le bien-être de la population : accès accrus à l’eau potable, à l’éducation, à l’électrification de zones rurales, construction de routes, de ponts, d’écoles, d’universités et de centres de santé ; à cela, il faut ajouter les investissements massifs dans les infrastructures et qui ont transformé le quotidien des Ivoiriens, tout en favorisant la circulation des biens et des personnes. Par ailleurs, les revalorisations salariales, les logements sociaux, les filets sociaux pour les plus vulnérables illustrent une politique de solidarité active que le Président ne cesse de mener. C’est dans la continuité de cette dynamique qu’à partir de janvier 2026, les fonctionnaires verront leur prime exceptionnelle passer d’un tiers à deux tiers du salaire indiciaire mensuel, comme annoncé par le Chef de l’Etat. De plus, il a promis que, dès septembre 2025, les retraités bénéficieront eux aussi d’une augmentation de leur prime exceptionnelle au même taux. Toutes ces mesures, comme l’ensemble des actions engagées, sont inspirées par une conviction profonde : « Le développement n’a de sens que s’il est partagé par tous ». Cette vision inclusive de la croissance confère à sa gouvernance un caractère profondément social, en phase avec les attentes des citoyens.
Le Président Alassane a compris que l’enjeu principal de la démocratie ivoirienne aujourd’hui est de préserver les acquis de sa gouvernance face aux vents contraires soufflant dans la sous- région. Tandis que plusieurs pays voisins sombrent dans les coups d’État militaires et la restriction des libertés, la Côte d’Ivoire démontre qu’un autre modèle est possible : un État fort mais démocratique, une économie dynamique mais inclusive, une autorité présidentielle, mais respectueuse des contre-pouvoirs. C’est pour consolider en profondeur ce modèle alternatif que le Président a « décidé d'être candidat à l'élection présidentielle », motivant sa décision par la nécessité de préserver la stabilité nationale face aux défis « sécuritaire, économique et monétaire sans précédent ».
En somme, Alassane Ouattara n’est pas un Président de façade, mais un dirigeant pleinement engagé, animé par une profonde conviction démocratique et un sens aigu de ses responsabilités républicaines. Sous le sceau de ces qualités, il incarne une gouvernance qui allie liberté politique, justice sociale et stabilité institutionnelle. Dans un environnement régional de plus en plus hostile aux valeurs démocratiques, son leadership fait figure de référence. Comparée aux régimes autoritaires du continent, ou aux dérives passées de la Côte d’Ivoire, sa gouvernance apparaît plus humaine, plus efficace et plus respectueuse du peuple et de ses aspirations légitimes. Alors que la raison semble devenue une denrée rare dans certains cercles politiques, et que l’opposition s’enlise dans une auto-fiagellation marquée par des paroxysmes sinistres — entre dogmatisme d’un bricolage idéologique et quête d’une rédemption illusoire —, la présence du Président Alassane Ouattara apparaît, plus que jamais, comme une nécessité vitale à la tête du RHDP et de la Nation. Par son exemplarité et sa constance dans la rigueur et l’excellence, il continue d’incarner — et d’enseigner — le bon usage de la raison politique : cette capacité lucide à concilier les principes démocratiques avec les exigences concrètes de la gouvernance, face aux dérives du désespoir, du sectarisme et de l’agitation stérile.
À travers son pragmatisme, le Président nous rappelle que la démocratie ivoirienne — bien qu'encore perfectible — constitue un modèle de référence. Elle démontre, à rebours des débâcles politiques ambiants, qu’en Afrique de l’Ouest, un leadership éclairé peut durablement conjuguer stabilité, liberté et progrès. Pour l’ensemble de son œuvre, la solidité de ses choix, et l’empreinte profondément transformatrice de sa gouvernance, le Président Ouattara apparaît comme le candidat idéal qu’il nous faut pour les élections d’Octobre 2025. Dans un contexte où les certitudes vacillent, il incarne la continuité, la raison et la force tranquille d’un État en marche. À ce titre, il mérite donc un nouveau mandat pour continuer à faire rayonner la Côte d’Ivoire entière sous l’autorité éclairée d’une « Ado-Puissance » en pleine maturité ».
Auteurs :
Dr. Kanate Dahouda Soumahoro, Professeur Titulaire d’Université, Etats-Unis. (Directeur Scientifique de l’Ouvrage Collectif « Alassane Ouattara, l’artisan du renouveau Ivoirien ». Membre de la Cellule de Réfiexion et d'Ecriture Militante)
Dr Diaby Moustapha Ben Ismaïla, Ecrivain, Juriste, Côte d’Ivoire. (Coordonnateur Général de l’Ouvrage Collectif « Alassane Ouattara, l’artisan du renouveau Ivoirien ». Membre de la Cellule de Réfiexion et d'Ecriture Militante)