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Après la prison : Molare ne pourra plus conduire de voiture jusqu’en 2030 

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Lourde peine pour Molare qui, après sa mise en liberté conditionnelle suite à son accident tragique ayant emporté début juillet 2025 dame Elise Tolah, vient d’écoper d’une lourde sanction de priva       tion de conduite jusqu’en 2030. 

Molare vient d’être lourdement sanctionné par la Direction générale des transports terrestres et de la circulation (DGTTC), dans le cadre des travaux de la Commission spéciale de suspension et de retrait de permis de conduire. Convoqué le jeudi 25 septembre 2025 au 16ème étage de la tour E devant ladite commission, l’artiste et entrepreneur culturel a écopé d’une peine de Molare cinq ans d’interdiction de conduire, après son accident mortel. 

C’est après sa sortie de prison le lundi 15 septembre 2025 que Molare avait été convoqué devant la commission de suspension et de retrait de permis de conduire. Face aux membres de la Commission, Molare reconnaitra les faits non sans présenter ses condoléances à la famille endeuillée après avoir exprimé ses regrets. « D’une voix grave et visiblement affectée par le drame, il a reconnu sa culpabilité dans l’accident qui a coûté la vie à une dame, a présenté ses condoléances à la famille endeuillée. Il a même exprimé ses regrets les plus profonds », indique le communiqué sanctionnant la rencontre. 

Après l’avoir entendu, la délibération de la commission est sans appel. L’artiste écope d’une sanction de cinq ans. Il devra attendre jusqu’en 2030 pour conduire une voiture. « La commission de suspension et de retrait de permis de conduire a délibéré pour un retrait du permis de conduire de l’artiste pour une période de cinq ans ferme », peut-on lire dans le communiqué qui mentionne qu’il est reproché « à l’artiste une conduite dangereuse, un défaut de maîtrise du véhicule, et de mise en danger de la vie d’autrui ».

Cette sanction, à en croire la commission de suspension et de retrait du permis de conduire, « vise à renforcer le principe de responsabilité individuelle et à préserver la sécurité des usagers de la route sur l’ensemble du territoire national ». Toute chose selon la commission « montre bien que nul n’est au-dessus des lois ». Pour le ministère des Transports, il s’agit de « rappeler la gravité des actes de négligence ou d’irresponsabilité au volant, en particulier lorsqu’ils ont des conséquences irréversibles » ajoutant que « connu pour ses prestations flamboyantes et son statut d’icône du couper-décaler, Molare n’aura donc plus droit au volant jusqu’en 2030 ».