Élue avec l’honorable Kahiba Lambert comme suppléant, elle a assuré une représentation parlementaire jugée « continue, active et orientée vers les résultats », selon plusieurs sources locales. Au sein de l’Assemblée nationale, la députée s’est illustrée par la défense régulière des préoccupations de Toulepleu, notamment l’état des infrastructures routières, la dégradation des écoles, les difficultés sanitaires et les enjeux sécuritaires liés à la frontière.
Lors des sessions plénières, Anne Désirée Ouloto-Lamizana a mis en avant, à plusieurs reprises, les besoins de réhabilitation, l’accès à la santé, la protection sociale, ainsi que les défis rencontrés par les jeunes et les communautés rurales. Son action a également porté sur la promotion des activités économiques locales et la prise en compte des spécificités du département dans plusieurs réformes nationales.
Selon son entourage, son mandat a permis d’obtenir « des arbitrages favorables » pour plusieurs projets d’infrastructures et d’équipements dans le département. La députée a entretenu un dialogue régulier avec les populations et les autorités locales afin de faire remonter les préoccupations liées à la cohésion sociale, à l’hydraulique villageoise ou encore à la sécurité.
Considérée comme un « pont » entre Toulepleu et l’État, elle a mobilisé différents ministères pour appuyer les besoins exprimés sur le terrain. Ses interventions ont contribué à renforcer la visibilité institutionnelle du département et à inscrire Toulepleu dans le champ des priorités nationales.
Plus de dix ans après son entrée au Parlement, Anne Désirée Ouloto-Lamizana reste présentée par ses soutiens comme une élue qui « a porté Toulepleu, porte Toulepleu et continuera de porter Toulepleu », dans un contexte où les attentes des populations demeurent fortes.
Yacouba DOUMBIA
